Actus Madagascar 16 février 2010

RéGION – Notre histoire

Anosy Le pic saint-louis culmine à 529 mètres. Cette chaine montagneuse donne une vue panoramique sur toute la ville de Tolagnaro. On peut contempler la baie de Sainte-Luce dans toute sa splendeur, d’est en ouest. On arrive aussi à admirer les îles Lokaro, la pointe Evatra, l’ anse Dauphine, le pointe et les plages de ...

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Anosy

Le pic saint-louis culmine à 529 mètres. Cette chaine montagneuse donne une vue panoramique sur toute la ville de Tolagnaro. On peut contempler la baie de Sainte-Luce dans toute sa splendeur, d’est en ouest. On arrive aussi à admirer les îles Lokaro, la pointe Evatra, l’ anse Dauphine, le pointe et les plages de Libanona, la fausse baie des Galions, le cap Ranavalona, le lac Andriambe.

Antsirabe

Successeur du pasteur Borgen qui a résidé à Antsirabe durant trois ans et qui s’est installé à Soamalaza, le pasteur norvégien T. G Rosaas est arrivé à Antsirabe  depuis 1872 jusqu’à la fin de son carrière. Il a été le seul étranger (vazaha) européen ayant habité cette ville durant 20 ans. Quelques mois après son arrivée, Rosaas a pu construire les premières maisons en brique dans la ville d’Eaux. Les vestiges de ces ouvrages sont encore perçus sur le site de l’actuel centre norvégien à Antsirabe.

Toliara

Il était une fois, au bord du grand fleuve Firehenana, un village qui vivait de la culture. Le manioc, le riz, le coton, le maïs, les légumes poussaient à profusion, et permettaient d’assurer la subsistance du village. Mais le fleuve prenait un malin plaisir à déborder de son lit, inonder et détruire les cultures.
Pour se débarrasser du fléau, les villageois décidèrent de lui offrir un sacrifice. Ils choisirent une jeune vierge, et l’enterrèrent vivante sur les berges du fleuve. Pour que celui-ci accepte l’offrande et ne détruise plus les cultures du village, ils lui offrirent également du manioc, du coton, du maïs, des légumes, mais oublièrent le riz. Le fleuve  fit dès lors un détour. Le village prit le nom de Miary (détour), et l’on ne cultiva plus de riz, pour ne pas provoquer la colère du fleuve.
Par la suite, un énorme banian poussa sur les lieux du sacrifice. On dit qu’il est la réincarnation de la jeune fille qui donna sa vie pour protéger son village. Entouré d’un haut mur d’enceinte, l’arbre est fady (sacré). Les villageois lui font régulièrement des offrandes, il est interdit de le toucher ou de le dégrader, et l’on ne peut s’en approcher qu’avec l’autorisation des habitants de Miary. Il présente un entrelacement de branches et de racines si vaste qu’il est considéré comme le plus grand représentant de l’espèce à Madagascar.
Cet arbre tentaculaire pressenti comme le plus grand au monde, selon les botanistes, couvre à lui seul un hectare.

Fianarantsoa

Andringitra est classé Parc national en 1999. Il est l’un des berceaux des ressources naturelles de la région Haute Matsiatra. Il se situe à une altitude variant entre 650 à 2658m. Sa surface est de 31160ha. Au sommet culmine le Pic d’Imarivolanitra qui fait partie du plus haut sommet accessible de la Grande Île (2658m).. Outre la faune et la flore endémiques, on y rencontre des splendides et uniques habitats altimontagnes qui méritent d’être visités.

Extrait l’Express de Madagascar – Edition n° 4541 du 16-02-2010

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