Histoire 20 juillet 2010

Région – Notre Histoire

Toliara La forêt royale d’Ankirikirike est une très belle forêt primaire bien conservée, située à une trentaine de kilomètres au sud d’Ampanihy-Ouest...

Partager
  • Article précédent
  • Article suivant
Toliara
La forêt royale d’Ankirikirike est une très belle forêt primaire bien conservée, située à une trentaine de kilomètres au sud d’Ampanihy-Ouest. Elle renferme une flore et une faune rarissimes, ainsi qu’un site funéraire d’exceptionnelle richesse en architecture et en sculptures funéraires.
Son statut de domaine forestier royal de la dynastie des Maroseragna du Menarandra, et de site funéraire de cette dynastie a favorisé la conservation. Par contre, cela rend son accès difficile, étant jalousement gardé. D’ailleurs, un conflit de succession entre deux branches descendantes de la dynastie ne fait que compliquer un peu plus cet accès du site. En effet, il faut l’autorisation et l’accompagnement des propriétaires pour pouvoir le visiter.
 
Antsirabe
Successeur du pasteur Borgen, qui a résidé à Antsirabe durant trois ans et qui s’est installé à Soamalaza aux environs de l’actuel collège d’enseignement général de ce quartier, le pasteur norvégien T. G. Rosaas est venu à Antsirabe en 1872, et y résida jusqu’à la fin de sa mission.
Il a été la seule personne de race blanche qui ait habité dans cette ville durant 20 ans. Quelques mois après son arrivée, Rosaas a pu construire les premières maisons en briques à coté de l’hôtel des Thermes, où le centre norvégien est installé actuellement.
 
Alaotra
Un médecin dit que si l’on se réfère aux connaissances scientifiques, l’ambalavelona serait un cas d’agitation très aiguë. «Dans ce cas, le Valium peut être utilisé pour endormir le patient. Seulement, sa guérison n’est pas assurée. La maladie va revenir une fois que le malade sera conscient», note Raoelina Fanjaniaina Rakotomanana, médecin traitant auprès d’un cabinet médical.
Il rajoute que durant ses 15 ans de métier, il n’a jusqu’ici connu qu’un cas d’ambalavelona.
«Quand j’étais au lycée d’Ambatondrazaka, dans les années 80, j’ai pu bien constater que cette maladie à statut psychiatrique ne se manifeste que collectivement. C’est-à-dire qu’une fois elle atteint une personne, dix ou vingt autres en sont tout de suite victimes », témoigne-t-il.
Ce qui exclut l’explication d’hypocalcémie. Cette carence n’arrive pas à une vingtaine de personnes en même temps et dans un même lieu.
 
Extrait l’Express de Madagascar – Edition n° 4668 du 20-07-2010
Partager

Ajouter un commentaire

Demande d’information et de tarif des vols par email ou téléphone

N’hésitez pas à nous écrire, ou à nous appeler de 9h30 à 19h,
du lundi au vendredi et le samedi de 11h à 17h.